सेंट-बेनेडिक्ट-के-आदेश फ्रेंच अर्थ का उदाहरण

Prieur de Saint-Symphorien, il devint supérieur général de l'Ordre de Saint-Benoît de 1786 à 1788.

Bénédictins, Cisterciens Dans les monastères de l'Ordre de Saint-Benoît et chez les Cisterciens, le prieur est le moine choisi par l'abbé pour le seconder.

Il commence alors à assister ce dernier dans la collecte de documents en vue de la rédaction des Actes de l'Ordre de Saint-Benoît (Acta Ordinis Sancti Benedicti) : sa contribution se révèle tellement déterminante dans l'œuvre issue de ce projet, dont le premier volume paraît en 1703, qu'elle lui est attribuée en définitive.

Puis dans les dernières années avant son décès, la documentation accumulée est utilisée pour écrire les Annales de l'Ordre de Saint-Benoît.

En 1703, il publie le premier volume consacré à l'histoire de son ordre, les Annales de l'Ordre de Saint-Benoît, qui lui vaut les louanges de Bossuet.

En 1235, les moines du prieuré de l'Ordre de Saint-Benoît de Laferté-sur-Aube, qui dépendaient de l'abbaye de Saint-Claude du Jura, cédèrent à l'abbaye de Clairvaux le douzième des dîmes de Maranville et de Clairvaux.

Marie le Mairat met à la place à La Prée des religieuses de l'Ordre de Saint-Benoît, qui devient le prieuré Sainte-Scholastique.

Voulant être prêtre, il part au séminaire français de Rome, puis entre dans l'Ordre de Saint-Benoît.