प्लेइस्टोसिन-युग फ्रेंच अर्थ का उदाहरण

Géologie Le Lötschental était entièrement couvert de glace durant le Pléistocène et dans sa partie supérieure, encore durant le Petit âge glaciaire.

Les alluvions de terrasse du Pléistocène (Fx-y) ou celles fluviatiles de l'Holocène (Fz) qui se déposent dans la vallée de l'Oust sont les plus récentes formations affleurantes du secteur.

On trouve aussi des colluvions du Pléistocène (sables calcaires) sur les flancs (zones boisées à l'est du bourg).

Site préhistorique qui a livré en particulier des vestiges du Paléolithique supérieur mais aussi du Paléolithique moyen et des vestiges fauniques du Pléistocène moyen.

lithiques (silex, roches métamorphiques et magmatiques) ont été recueillis dans quatre unités stratigraphiques principales entre de profondeur, dans la partie inférieure de la séquence géologique attribuée au Pléistocène moyen.

Datée du Pléistocène inférieur terminal, elle est formée d'un épais épandage alluvionnaire (20 à ) de sable plus ou moins argileux jaunâtre à rougeâtre, feldspathique, et de graviers et gros galets de quartz et quartzite gris.

Le relief actuel des montagnes norvégiennes et écossaises a été formé durant les glaciations successives du Pléistocène, qui ont creusé de profonds fjords et lochs.

Au niveau géologique, le sol se compose principalement de calcaires du Crétacé, et au nord, de sables, d'argiles ou de graviers du Pléistocène.

En fait, les rhinocéros de l'est de Sumatra et ceux de Malaisie montrent si peu de variance génétique que ces populations n'étaient vraisemblablement pas séparées au Pléistocène, lorsque le niveau de la mer était plus bas et que Sumatra faisait partie du continent.

Sur une bande centrale de la commune incluant le bourg, les surfaces des plateaux sont recouvertes de formations composées de sables argileux bruns, issues de l'altération du Santonien supérieur lors du Pléistocène, au Quaternaire.

La géologie de la péninsule est principalement constituée de dépôts sédimentaires marins issus de la dernière période glaciaire de la fin du Pléistocène.

Un énorme écart est observé, de 36,2 millions d’années dans le registre fossile, entre l’Éocène supérieur au Pléistocène.