सोशलिस्ट Meaning in French
socialiste
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सोशलिस्ट मुस्लिम इंकलाब जमातसोशलिस्ट मैक्सिको पेंटर ऑफ मॉडल्स 1886 1957
सोशलिस्ट लेबर पार्टी
सोस
सोसिनियन
सोह
सोहम
सोहर
सोहेल
सौ
सौ अंकों में बंटा
सौ अंशों में विभाजित
सौ गुना
सौ परसेंट
सोशलिस्ट फ्रेंच अर्थ का उदाहरण
À chaque congrès du SPD, les femmes socialistes envoient des déléguées élues en assemblées non-mixtes.
Le MEO après la guerre Après la guerre, les Jeunesses socialistes, dirigées par Pierre Mauroy, sont dissoutes par Guy Mollet.
Fils d'Auguste Clarou et d'Irma Borie, docteur en médecine, député radical socialiste du Gard 1924-1927.
Politiquement, il fut membre de la social-démocratie allemande, puis du parti socialiste italien, tout en étant proche de certains syndicalistes révolutionnaires, dont Georges Sorel et Hubert Lagardelle.
Selon le site Pratique de l’histoire et dévoiements négationnistes :« La liste du premier comité directeur est fournie dans l'ouvrage de Marc Sadoun, Les socialistes sous l'occupation, Presses de la Fondation nationale des sciences politiques, 1982, p.
En 1974, un pré-SP se forme au sein du PSB-BSP, l'Overlegcomité van de Vlaamse Socialistische Federaties (conseil de coordination des fédérations socialistes flamandes) et la scission se rapproche avec le Vlaams Socialistisch Congres (congrès socialiste flamand) de Gand en 1976, et enfin celui de Malines en 1978.
Les socialistes s'opposent à la dictature militaire et dénoncent ses crimes.
Son successeur, Armand Truchot, est battu en 1977 par le socialiste Jean-Pierre Santa Cruz.
Ils firent partie du Front républicain avec la SFIO de Guy Mollet, les radicaux-socialistes de Pierre Mendès France et l'UDSR de François Mitterrand, mais beaucoup d'entre eux se sont aussi ralliés à la majorité de droite sortante dominée par le MRP et le CNIP.
Histoire Ce tout nouveau parti emporte un franc succès lors des élections législatives qui ont suivi la motion de censure le , en arrivant à la troisième position (derrière le PLD et le Parti socialiste japonais, PSJ) avec plus de 10 % des suffrages et 55 sièges sur 512.
Il s’engage dans la Résistance en 1941, passe dans la clandestinité en 1943, et forge sa vocation de journaliste en participant à la publication de journaux clandestins comme l’Insurgé, animé par des anciens du Parti socialiste ouvrier et paysan, et notamment Pierre Stibbe.
À l'inverse, la liste Marcombes souhaite faire barrage plus ou moins ouvertement aux socialistes, dans le nouveau contexte de la Russie bolchevique.