फसल-खराब फ्रेंच अर्थ का उदाहरण

La situation semble d'autant plus propice à ce genre d'attaques que les territoires hittites semblent souffrir de mauvaises récoltes liées apparemment à une sécheresse, le ravitaillement de l'Anatolie centrale depuis les régions du Sud étant difficile.

La Révolution française est provoquée par une crise générale de la société, des institutions politiques et des finances publiques, crise aggravée par une courte crise économique due à des mauvaises récoltes.

, contraignant la population à une grande pauvreté et à des épisodes de malnutrition et de mauvaises récoltes.

À Soirans et à Fouffrans, comme dans les villages voisins (et presque partout en France), les années 1787 et 1788 ont été marquées par de mauvaises récoltes et le mécontentement grandi.

La période se termine avec plusieurs mauvaises récoltes entrainant famines ainsi qu'avec diverses épidémies, décimant la population.

De mauvaises récoltes, une famine causée par des intempéries et une invasion de sauterelles en 1035 ne firent qu'exacerber la situation et des révoltes se produisirent à Alep, Antioche, Nicopolis et en Bulgarie.

En 1776 et 1782, la sécheresse entraîne de mauvaises récoltes, la mort de la moitié des chevaux de la châtellenie et l’abattage d’une bonne partie des bêtes à cornes du marquisat.

La famine sévit en effet, entre les années 1805 et 1815, à cause des mauvaises récoltes et des impositions impériales.

Une succession de mauvaises récoltes à partir de 1830 entraîne la grande famine Tenpō.

La période de prospérité générale qui durait depuis le milieu du siècle en Touraine s'estompe à partir de 1777, avec une succession d'hivers rigoureux, de mauvaises récoltes et d'épidémies, et les prestigieuses soieries de Tours amorcent elles aussi leur déclin.

Les années 1790 et 1791 ne donnent pas d'évènement notables, excepté peut-être les mauvaises récoltes dues à une gelée tardive, puis d'une grande sécheresse pendant l'été qui suivit.

Les mauvaises récoltes de 1693 amenèrent la famine en 1694, d'autant plus que le printemps sec de 1694 ne fut pas favorable non plus ; s'ensuivirent famine et épidémies.

Cela permit à monseigneur Drouas de Boussey, connu pour sa bonté, de soulager un peu la misère de nombre de paysans ayant souffert des mauvaises récoltes de cette année en leur donnant un travail.