पेब्रिन फ्रेंच अर्थ का उदाहरण

Le , Antoine Béchamp publie une note sur la pébrine dans les Comptes rendus de l’Académie des sciences .

Pasteur est alors missionné par le gouvernement français de l’époque pour étudier la pébrine.

L'effondrement de cette industrie si florissante est encore plus rapide que sa croissance : la pébrine frappe sans recours les magnaneries à partir de 1849 et s'étend très rapidement.

Histoire La première description d’une microsporidie fut faite au milieu du , quand la pébrine décimait les vers à soie.

Cependant, alors que la pébrine est quasiment éradiquée, la flacherie continue malgré tout à causer des ravages.

Au début du , l'activité a décliné à cause de la maladie de la pébrine et de la concurrence de la soie artificielle.

Ce champignon semble avoir été signalé pour la première fois en 1849, avant l'identification de la pébrine, par Guérin-Méneville, qui croyait erronément que les vers à soie sur lesquels il l'observait étaient atteints de muscardine.

Le sénateur du Gard Jean-Baptiste Dumas, célèbre chimiste de l’époque, envoie Louis Pasteur étudier la maladie des vers à soie (pébrine, appelée aussi « la nouvelle maladie ») : dans le Midi, pays d'origine de Dumas, l'industrie du ver à soie est menacée par cette « nouvelle maladie ».

L’agriculture est confrontée à différentes crises comme l'oïdium, le phylloxéra pour la vigne et la pébrine pour l'élevage du ver à soie.

La pébrine, selon moi, attaque d’abord le ver par le dehors, et c’est de l’air que viennent les germes du parasite.

Le , Béchamp déclare devant la société d’agriculture de l’Hérault que la pébrine est une maladie parasitaire.

Il aurait supposé que la pébrine était parasitaire.

Après l'identification de la pébrine, Cornalia, Franz Leydig, Balbiani et Pasteur étudièrent son agent microbien (« corpuscules ») de façon plus approfondie.