दशमांश फ्रेंच अर्थ का उदाहरण

Avant la Révolution Les dîmes de Mey étaient à la Révolution, et depuis des temps très anciens, perçues pour un tiers par le chapitre de la cathédrale de Metz et pour les 2/3 par l'abbaye de Saint-Clément de Metz, qui avait obtenu ces 2/3 par un échange avec l'église primatiale de Nancy.

Elle formait une paroisse du diocèse de Die, dont la plus grande partie des dîmes appartenaient au curé.

Emplacement d'un ancien prieuré de l'ordre de Saint-Augustin, congrégation de Saint-Ruf, dit, tour à tour, de Serrières, de Gaudissard et d'Eygalayes, et dont le titulaire avait la collation de la cure et les dîmes de la paroisse d'Eygalayes.

Son titulaire avait les dîmes de la paroisse de Suze.

Elle formait une paroisse du diocèse de Die, dont l'église était sous le vocable de l'Exaltation de la Sainte-Croix et dont les dîmes appartenaient au commandeur du Poët-Laval qui pourvoyait an service paroissial.

L'abbesse de l'abbaye Sainte-Marie de Saint-Jean-le-Grand d'Autun nomme au bénéfice, elle possède une partie des dîmes, l'autre revenant à monsieur le curé.

Le revenu de la cure consistait en une partie des dîmes, en quelques pensions et dans le produit d'une vigne « de .

En 1224, Jean d'Apremont, évêque de Metz achète à l'abbaye de Senones tous les biens que celle-ci possède à Moyen, sauf les dîmes et le droit de patronage.

Il s'agit du logis, ancien manoir ayant subi maintes transformations et mutilations, et de la grange aux dîmes.

En 1220, Girard de Saulx confirme le partage de la dîme entre l'Abbaye de Saulx-le-Duc (Évêché de Langres) et l’Abbaye de Saint-Bénigne (Évêché de Dijon).

Les dîmes de cette paroisse appartenaient au prieur, qui présentait à la cure.

Elle formait une paroisse du diocèse d'Orange dont les dîmes appartenaient au prieur d'Albagnonet (voir Les Aubagnans).

Le prieuré clunisien de Lihons-en-Santerre nomme le curé à partir de 1111 tandis que l'abbaye de Saint-Fuscien et le prieuré de Méricourt-sur-Somme se partagent le reste de la dîme.