ताइवानी Meaning in French
Taïwanais
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ताइवानी फ्रेंच अर्थ का उदाहरण
C’est pourtant celui de 30 à 65 % des Taïwanais lorsqu’on leur en offre l’occasion.
-ais(e)(s) : pour les villes (par exemple : Bayonnais de (Bayonne) mais aussi pour les pays (par exemple : Français de France, Taïwanais de Taïwan).
Le KMT envisage ainsi de conformer les Taïwanais à une forte identité culturelle – définie par l'État –, aux dépens des cultures locales.
Celle-ci s'est imposée aux 84 % de « Taïwanais de souche », descendants des premiers colons arrivés de la province de Fujian en Chine méridionale à partir du , qui ont refoulé l’ancien peuplement aborigène vers les hautes terres au centre de l’île.
Il y met en place un gouvernement autoritaire et un nouveau programme de socialisation politique, très similaire à celui pratiqué par les Japonais dans son objectif : faire des Taïwanais et des autochtones des citoyens chinois à part entière, ou au moins culturellement.
Sur le terrain neutre de Ba aux Îles Fidji, les Aussies dominèrent deux fois les Taïwanais et profitèrent de leur présence sur l'île pour jouer contre les Fidji, vainqueurs surprise.
Ces deux équipes étaient venues à Fidji pour disputer leurs rencontres éliminatoires de la Coupe du monde 1978 en raison du refus du gouvernement australien d'accorder des visas aux Taïwanais.
Après un nul à Auckland, une victoire à Tel Aviv-Jaffa et un nouveau match nul au retour contre les Israéliens et deux victoires faciles face aux Taïwanais, les Australiens répondirent aux attentes mais durent jouer un match décisif face aux Néo-Zélandais.
Parallèlement, certains pratiquants Taïwanais immigrent vers les USA et l’Europe pendant les années 1980, suivis par d’autres pratiquants continentaux dans les années 1990.
Des études récentes attestent d'ailleurs d'un important niveau de mixité génétique au niveau national, quoique la plupart des Taïwanais contemporains refusent de croire ou d'assumer qu'ils aient une ascendance autochtone : une étude datant de 1994 soutient que 71 % des familles interrogées s'opposeraient à ce que leur fille épouse un autochtone.
Les relations avec la Chine sont une des préoccupations prioritaires de la politique de Taïwan pour des raisons historiques, sociologiques (de nombreux Taïwanais ont leur famille ou travaillent sur le continent) et géographiques.
Jusqu'à la fin des années 1980, les principaux responsables politiques taïwanais étaient pratiquement tous recrutés au sein de la minorité des héritiers de la défaite de 1949, au détriment des Taïwanais de souche.
Alors que le président Chiang Ching-kuo décède en 1988, son vice-président, Lee Teng-hui, lui succède ; ce dernier est alors le premier Taïwanais de souche à accéder au rang de président de la république.