कुओमिन्तांग फ्रेंच अर्थ का उदाहरण

Puis, le Kuomintang leur conférera une dénomination différente : « compatriotes des plaines » ou « des montagnes », afin de conjurer tout souvenir japonais ; il continue à utiliser la distinction.

Le gouvernement du Kuomintang, réfugié à Chongqing dans le Sichuan contrôle une partie de l'ouest du pays.

Le , le Kuomintang sort large vainqueur des élections régionales.

Le Kuomintang est au pouvoir de 1950 à 2000.

Les communistes, alliés à l’aile gauche du Kuomintang maintiennent un temps le front uni.

En 2000, l'opposition de Chen Shui-bian et la coalition pan-verte gagnent les élections : Chen Shui-bian est le premier président du pays à ne pas appartenir au Kuomintang.

Selon lui, les forces armées communistes sont encore trop faibles et seule la pratique de la guérilla peut faire émerger une véritable armée de métier, qui sera en mesure de battre les Japonais, et à terme le Kuomintang.

Le 29 décembre 1928, Zhang Xueliang, fils de Zhang Zuolin, annonça son ralliement au gouvernement du Kuomintang et abandonna le drapeau à cinq couleurs utilisé jusque-là comme symbole du gouvernement de Beiyang, adoptant pour sa faction de Mandchourie le drapeau de la république de Chine.

En mars 1926, dénonçant une tentative d'enlèvement contre lui, Tchang Kaï-chek réalise un coup de force à Canton, déclarant la loi martiale, congédiant ses conseillers soviétiques et limitant la possibilité pour les membres du Parti communiste de participer à la direction du Kuomintang.

Cela exacerbe gravement les tensions entre l'aile droite du Kuomintang, d'une part, et l'aile gauche du parti et ses alliés communistes, d'autre part.

Le , le Tongmenghui et différents groupes nationalistes se dissolvent pour fonder ensemble le Kuomintang.

Il est réélu le pour un second mandat, et le Kuomintang prend du parlement lors des législatives qui ont lieu simultanément.