बाइज़ैन्टियम फ्रेंच अर्थ का उदाहरण

Bréhier, Louis, Vie et mort de Byzance, Albin Michel, coll.

Il n'est relâché que quelques mois plus tard contre le paiement d'une rançon, versée par l'empereur de Byzance, Manuel Comnène, auquel il rend visite fin 1180.

Notes et références Bibliographie Louis Bréhier, Vie et mort de Byzance, éditions Albin Michel, L'évolution de l'humanité, Paris, 1946, .

Saint André était le frère de saint Pierre, qui lui, fonda l'Église de Rome ;Byzance, l'ancienne cité grecque, renommée Constantinople sous le règne de l'empereur romain Constantin , qui y avait établi la capitale de l'Empire, en 330, devint ainsi la première ville de l'Empire ;bien plus tard, Ravenne contestera également la suprématie romaine.

Il traduisit en arabe, avec ses collègues, les manuscrits grecs de Byzance réunis dans la bibliothèque fondée par le calife au sein de la Maison de la Sagesse, et étudia à partir de ceux-ci la géométrie, l'algèbre et l'astronomie.

Renouant avec l’hostilité de son père, Frédéric Barberousse, à l’endroit de Byzance, exigea à Noël 1196 le paiement d’une somme de à titre de compensation pour les conquêtes normandes du nord de la Grèce, brièvement occupées par en 1185, somme qui fut réduite après négociations à .

Empereurs byzantins :* Manuel Comnène (1118-1180), empereur de Byzance en 1143 ;* Manuel II Paléologue, empereur byzantin de 1391 à 1425.

À son retour à Byzance il est élevé au rang de sénateur par le nouvel empereur Constantin XI et devient le plus fameux des professeurs du Xénon du Kral.

Ivan Djuric, Le crépuscule de Byzance, Maisonneuve " Larose, Paris, 1996 .

Origines et carrière byzantine Philarète Brakhamios est issu d'une famille noble arménienne (les Varažnouni, originaires du Vaspourakan) entrée au service de Byzance au , et qui semble s'être rapidement intégrée : Philarète est décrit comme étant grec de langue, de coutumes et de religion ; il est en effet chalcédonien.