बरबेट्स फ्रेंच अर्थ का उदाहरण

Le maire de Saorge se plaint que des bandes de barbets se trouvent autour de la ville et ravagent les campagnes environnantes.

La présence de troupes de barbets commandés par des officiers sardes dans la montagne de Saorge et de Tende va conduire à des combats de harcèlement qui vont durer plusieurs années.

En dépit de l'envoi de troupes supplémentaires, de mise en place de mesures administratives exceptionnelles, les barbets continuent de mettre en difficulté l'armée française dans le Comté de Nice, jusqu'au début de l'empire.

Pendant la Révolution, il y a à L'Escarène un tribunal militaire jugeant les barbets.

La restauration sarde (1815-1860) Le retour du Comté de Nice - et de Contes - au sein du Royaume de Sardaigne s'accompagne d'un retour des émigrés et d'une amnistie des barbets.

Les troupes françaises vont les chasser en causant aussi des dégâts auprès des populations locales qu'ils accusent de soutenir les barbets.

La communauté subit les remous des guerres de la Révolution : le village est occupé, voire saccagé par les troupes austro-sardes ou les milices barbets, des troupes républicaines sont encasernées dans l'église Sainte Pétronille durant six mois en 1792.

Le général Garnier a organisé la lutte contre les barbets en 1800-1801.

Il commence l'élevage en testant et triant plus de six cents chiens et notamment des barbets et de différents griffons de pays.

Cette courte incursion austro-sarde de trois semaines dans le Comté de Nice va relancer le barbétisme qui avait diminué à la suite de l'arrêté du offrant l'amnistie aux miliciens ou barbets à condition qu'ils rendent leurs armes et le traité de Paris du par lequel le roi de Sardaigne reconnaît la perte du Comté de Nice.

Plusieurs dizaines de Contois font partie des barbets, et plus encore y apportent un soutien passif ou actif.

Une forme de guérilla est faite par les barbets.

Lassitude, répressions et condamnations à mort, mais aussi exactions commises par le camp des coalisés lors de l'éphémère reconquête du Comté de Nice en 1800, démobilisent les barbets.