पुस्र्षत्व Meaning in French
masculinité
ऐसे ही कुछ और शब्द (more words like this)
पुस्र्षमैथुनपुस्र्षमैथुन करनेवाला
पुस्र्ष संबंधी
पुस्र्षों
पुस्र्षों का अंडकोष हटाना
पुस्र्षों के कपड़े
पू
पूँछ
पूँछहीन
पूँजी
पूँजी का लेखा
पूँजी की लागत
पूँजी खाता
पूँजीगत गहनता
पुस्र्षत्व फ्रेंच अर्थ का उदाहरण
Dans Des Hommes Justes publié en 2019, Ivan Jablonka définit les rapports entre masculinités et justice de genre.
Dans la lecture critique du concept de masculinité hégémonique, Demetrakis Z.
Il partage son incompréhension à propos de Patrice Evra qui, d'une part, déplore dans son livre I love this game : The Autobiography « la masculinité toxique » qui l’a empêché pendant longtemps de dénoncer des agressions sexuelles subies à 13 ans, et d'autre part, qu'il incite de nombreux joueurs à l’homophobie.
Dans cette optique, la féminité est l’antithèse de la masculinité ; être une femme consiste alors à ne pas être un homme et être un homme c’est avant tout refuser tout attribut « naturellement » féminin.
Marianne Charrier-Vozel, Féminité et masculinité : la pluralité des genres selon Mme Riccoboni et Choderlos de Laclos, dans S.
Alors que des chansons telles que Stupid Girl et Under My Thumb peuvent être misogynes, elles sont également interprétées comme des représentations sombres de la masculinité haineuse du narrateur.
Van Strien-Chardonneau, Féminités et masculinités dans le texte narratif avant 1800 - la question du gender, Ed.
Pour Dupuis, les propos d’Evra et Anelka sur RMC sont un exemple même de « masculinité toxique », leur reprochant leur manque de compassion envers Gourcuff, tétanisé par la pression de tout un pays qui voyait en lui le nouveau Zidane.
Les individus relevant des masculinités « complices » « subordonnées » ou « marginales » contribuent à leur manière à renforcer la position dominante du modèle de « masculinité hégémonique ».
Demetriou précise que la masculinité hégémonique est en réalité un bloc hybride « qui se reconfigure en continu par hybridation ».
L'étude académique de la masculinité a fait l'objet d'une attention accrue à partir de la fin des années 1980 et au début des années 1990, le nombre de cours sur le sujet aux États-Unis passant de 30 à plus de 300.
Le concept de « masculinité hégémonique » permet ainsi de penser les rapports de domination entre hommes et femmes, mais aussi les rapports de pouvoir entre hommes et les hiérarchies entre les masculinités.