पायरोक्लास्टिक फ्रेंच अर्थ का उदाहरण

En 1902, la ville de Saint-Pierre en Martinique fut détruite par une coulée pyroclastique qui tua plus de .

Celui-ci surmonte un amoncellement de plusieurs dizaines de coulées de trachyandésite et de brèches pyroclastiques (formées à la suite de nuées ardentes).

Le danger le plus grand provient des coulées pyroclastiques qui sont un mélange de gaz, de cendres et de roches qui dévale tel une avalanche meurtrière les flancs du volcan.

Les volumes de laves émis sont alors assez faible mais suffisant pour combler les dépressions du plateau de Bélouve et de la plaine des Marsouins jusqu'à l'actuelle confluence du Bras Cabot avec la rivière des Marsouins (remplissage lavique et pyroclastique).

Entre les coussins, les espaces libres sont remplis de brèches craie fines vitreuses (hyaloclastites, débris pyroclastiques) et de sédiments.

Les pluies très intenses ayant précédé l'éruption ont diminué la cohésion et la stabilité des dépôts de pente et des produits pyroclastiques.

Des laves plus anciennes ont été retrouvées jusqu'à du sommet ainsi que des traces de coulées pyroclastiques avec dépôts d'ignimbrite.

L'intensité des éruptions au cours des derniers milliers d'années tend toutefois à diminuer et les dépôts pyroclastiques sont moins volumineux qu'au cours du Pléistocène.

L'érosion glaciaire de ses flancs a entamé les dépôts pyroclastiques formés par ses différentes éruptions.

Les plus anciennes coulées de lave basaltiques de recouvrent les dépôts pyroclastiques les plus récents du champ volcanique de Tumalo.