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Napoléon III lui a offert un tableau, « Le Christ en croix », L’église compte également quatre grandes compositions peintes par Georges Grandin, originaire de la commune et ancien élève de Meissonier et de Cabanel à l’école nationale des Beaux-Arts.

D'occupation très ancienne, la commune a été le théâtre d'évènements durant les guerres de religion, puis au cours de la résistance de cette partie de la Provence à Napoléon III.

Son transfert, quelques centaines de mètres plus bas en lieu et place du Cabaret de la Grande Pinte, est décidé par le baron Haussmann dans le cadre des transformations de Paris sous le Second Empire voulues par l'empereur Napoléon III.

Au , Napoléon III envisage de faire reconstruire le château par Eugène Viollet le Duc, mais il lui préfère celui de Pierrefonds.

Déjà propriétaires de nombreuses sociétés de chemin de fer, ils s'inscrivent dans un courant d'industriels français qui se lancent dans de grandes entreprises sous l'impulsion de Napoléon III.

On trouve dans l'église de belles soieries, une pietà du , un chemin de croix offert par Napoléon III et dans un angle un saint Fiacre, patron des jardiniers.

Claude Coin, proche de Napoléon III, lui succède en 1854 et fait appel au paysagiste Louis-Sulpice Varé pour la création du jardin anglais.

Il y restera jusqu'au , date à laquelle il s'établit en métropole, où l'empereur Napoléon III le nomme sénateur.

La famille Rouher, famille notable d'Artonne au , dont descend Eugène Rouher, ministre de Napoléon III ; son grand-père, Louis Rouher (1735-1812), était notaire royal à Artonne et bailli d'Artonne.

Toponymie Histoire La commune a connu son âge d'or sous Napoléon III, grâce à l'exploitation importante de bois nécessaire pour l'armée ou pour la construction de bâtiments.

Démographie Culture locale et patrimoine Lieux et monuments Café de l'Empire (classé monument historique), doit son nom à la venue de l'empereur Napoléon III et qui n'a pas obtenu le plébiscite du canton (seul canton rural de France à avoir voter contre).

L'annonce du coup d'État de Napoléon III éveilla des réactions dans la commune.