ड्रेफस फ्रेंच अर्थ का उदाहरण

Le nationalisme offre un programme et scelle la première coalition, celle des anti-dreyfusards, qui reste hétéroclite et opposée au gouvernement.

Toponymie Histoire Chitry-les-Mines connut un maire célèbre, Jules Renard (son père François Renard fut aussi maire de la commune) : en politique, sous la IIIe République, Jules Renard était socialisant, ardent républicain, laïc, dreyfusard, promoteur de l'école laïque instaurée par Jules Ferry.

, Botrel appartint à la Ligue de la patrie française, ligue antidreyfusarde modérée.

Aline Ménard-Dorian (1850-1929), vice-présidente de la Ligue des droits de l’homme, dreyfusarde convaincue, y anime, à partir de 1889, des dîners et des soirées littéraires ou musicales, où se côtoient écrivains et artistes : Alphonse Daudet, les frères Goncourt, Émile Zola, Erik Satie, Auguste Rodin et bien d’autres.

Elle reconquiert Paris dans le camp des antidreyfusards mais demeure néanmoins affaiblie.

Entre 1902 et 1906, près d'une trentaine de ses députés appartient également au groupe républicain nationaliste présidé par l'antidreyfusard Jacques Marie Eugène Godefroy Cavaignac.

Engagement dans la vie politique et publique L'engagement en faveur d'Alfred Dreyfus et dans la Ligue des droits de l'homme Ardent dreyfusard, il participe en 1898 à la création de la Ligue des droits de l'homme et en devient le vice-président.

Ainsi ne renie-t-il rien, par exemple, de son engagement dreyfusard, puisqu'il s'agissait de lutter pour la vérité et la justice, valeurs cléricales, et cela au mépris de l'ordre et des contingences politiques, valeurs laïques.

Marqués de sensibilité dreyfusarde et d'influence protestante, maçonnique voire libertaire la ligue était fort composite.

Bien que proche amie d’Anatole France, la comtesse de Martel fut boulangiste, antidreyfusarde et passionnément nationaliste, dans le contexte de l'annexion de l’Alsace-Lorraine.

Le , on célèbre les obsèques du président Félix Faure, rempart de l'antidreyfusisme.

Le polémiste se déchaîne dans le Psst…!, journal anti-dreyfusard qu’il fonde en 1898 avec Caran d'Ache et le soutien actif d'Edgar Degas et Maurice Barrès.

»La ligue, structurée, avec des cadres expérimentés, devient le fer de lance de l'agitation des rues antidreyfusardes.