गुणगान-करना फ्रेंच अर्थ का उदाहरण

Toute la décoration est destinée à glorifier la marine russe.

Le discours sectaire se trouve à 98 % sur Internet, les victimes sont contactées par ce biais, puis progressivement se voient légitimer le rejet du monde, y compris de leur propre famille, puis glorifier les exactions.

Il entreprend dans les années 1860 de glorifier l'impérialisme britannique, dont il fait l'éloge dans un ouvrage au grand retentissement, Greater Britain, publié en 1868.

Ils reçoivent à cette occasion le surnom injurieux de « gueux », qu'ils reprennent à leur compte pour s'en glorifier (« banquet des Gueux », du 5 avril).

Cette année 1392, l'Église de Russie cesse de glorifier dans sa liturgie l'empereur romain d'Orient, devenu un vassal du sultan : la protestation solennelle du patriarche n'y change rien.

Dans la tradition byzantineLa doxologie est l'action de glorifier ou de confesser la gloire ou la sainteté de Dieu ; c'est une formule liturgique, souvent trinitaire, de louange à Dieu et de reconnaissance de sa gloire.

Lors du conseil de contrôle du , il est émis une directive relative à la suppression des monuments et musées allemands militaires et nazis, afin de détruire tout ce qui tend à glorifier la tradition militaire allemande, dont la colonne de la Victoire.

Toujours prompt à glorifier le courage des coureurs, ces , pour forger la légende de son épreuve et promouvoir les ventes de L'Auto, le directeur Henri Desgrange se satisfait de la rudesse de la course.

À l'ombre de son nom, la sécurité est rentrée dans nos cœurs et nous pouvons désormais bâtir, ensemencer, moissonner, cultiver les sciences humaines, appartenir à la grande famille de l'État, le servir et nous glorifier de ses nobles destinées.

C'est peut-être cette série d'évènements que la plus vieille épopée sémitique connue nous a conservé la traceExtraits de l'épopée de Zimri-Lim : "Je veux glorifier Zimri-Lîm, le taureau sauvage du combat, je veux répéter partout la renommée du héros pour l'éternité.

Ces textes étaient avant tout destinés à glorifier la figure royale, et donc les défaites que subissait l'armée assyrienne sont passées sous silence, quand on ne les transforme pas en victoires comme dans le cas de la bataille de Qarqar, perdue par Salmanazar III, qui la célèbre pourtant comme une victoire.

Lebrun publia son ode et la correspondance qu'il avait eue avec Voltaire à cette occasion pour se glorifier de sa bonne action ce qui lui valut les moqueries de Fréron à qui il riposta par deux violents pamphlets : La Wasprie (1761) et L'Âne littéraire (1761), qu'on attribue aussi à son frère, Jean-Étienne Écouchard-Lebrun de Granville.