कॉकएग्न फ्रेंच अर्थ का उदाहरण

Le mot reste présent dans le nom du mât de cocagne, attraction traditionnelle dans les fêtes de village.

La pâte de pastel écrasée était ensuite amalgamée en grosses boules appelées « coques », ou « cocagnes » en Lauragais, qui étaient mises à sécher.

L'expression « Pays de cocagne » pourrait évoquer la richesse de cette région.

Au tournant du , Goyrans faisait partie du pays de cocagne, région qui prospérait grâce à la culture du pastel, qui était exporté par voie fluviale vers Bordeaux.

On nomme alors la région « Pays de cocagne ».

Le terme pourrait également dériver de la « coque », « cocagne » ou « coquaignes », une boule de feuilles écrasées et compactées à la main par les cultivateurs d'une plante appelée le pastel qui était fabriquée dans le Lauragais et l'Albigeois du au .

Évocations dans les arts Le poète Léopold Sédar Senghor évoque la légende du Ouagadou dans son poème Le Kaya-Magan, où il présente le Ouagadou comme un royaume de cocagne.

La cocagne était ensuite mise à sécher et était vendue aux fabricants de teinture à un cours tellement élevé que toute la filière du pastel devint extrêmement riche.

Ces « cocagnes », qui ont donné au Lauragais son surnom de « pays de cocagne », étaient ensuite commercialisées depuis Toulouse sur le marché européen.