कलाकृति फ्रेंच अर्थ का उदाहरण

Elle a nécessité la construction de plusieurs ouvrages d'art, dont un viaduc pour la traversée de la vallée de l'Hallue.

Il est prévu 204 ouvrages d'art.

Avec l'arrivée du chemin de fer au milieu du , la pierre de Chancelade s'exporta dans tout le Sud-Ouest de la France pour bâtir des ouvrages d'art ferroviaire : maisonnettes, ponts, viaducs, édifices publics, gares.

Les travaux ont nécessité , l'élargissement se faisant au-delà de la plate-forme préexistante, et douze ouvrages d'art ont dû être traités.

Trois ouvrages d'art furent construits sur le tronçon parallèle à la rue Saint-Germain, deux ponts métalliques de fabrication identique pour la rue des Ponts et la route du Fournay et un pont levis rue du passage à niveau.

La pierre calcaire de Ruoms a été utilisée pour la réalisation de nombreux monuments et ouvrages d'art, et bien qu'aucun document n'en atteste, une légende persistante prétend même, parmi ceux-ci, le socle de la statue de la Liberté à New York, qui est en fait constitué de béton et de granit provenant du Connecticut.

Elle devait être « unique en Europe », rassembler une quantité rare d'ouvrages d'art : 12 viaducs et 35 tunnels pour 89 kilomètres, et la fameuse « spirale de Montpezat » autour du Suc de Gravenne, permettant de descendre du tunnel du Roux (altitude 994 mètres) à Thueyts (420 m).

Les ouvrages d'art d'une longueur supérieure à sur ces autoroutes sont : mesurant et et viaducs pour un total de .

Les principaux ouvrages d'art étaient :Viaduc des Ponts-Neufs - HillionViaduc du Préto - Pléneuf-Val-André (Démoli)Viaduc de Caroual ou de Cavé - ErquyPasserelle de la Côtière - ErquyPonceau de la Côtière - ErquyViaduc de Port-Nieux - Fréhel Ligne Tréguier - Paimpol La ligne de Tréguier à Paimpol a été inaugurée le 1924 et fermée le .

On s'en sert pour le chauffage, ou la construction d'habitations et d'ouvrages d'art (bois de fuste), la fabrication d'outils et d'armes et aussi sous forme de charbon pour la métallurgie (fonderie et forge) et la verrerie.

Montalembert avait théorisé de nouvelles formes de fortification (qu'il appelle la « fortification perpendiculaire », correspondant à la fortification polygonale) protégeant des ouvrages d'artillerie se soutenant mutuellement.