एक-मत-से फ्रेंच अर्थ का उदाहरण

Dès 1964 il se fait remarquer par une voix puissante et éraillée.

La mélodie est simple, l'accompagnement sans complexité, et est chantée par une voix aiguë, un jeune garçon du temps de Bach.

Dans la trilogie de L'Autre de Pierre Bottero, l'une des "familles", les mnésiques dans le livre, possède un don qui se traduit, chez les membres de cette famille, par une voix intérieure possédant toutes les connaissances de tous les membres de la famille, vivants ou morts, et délivrant ces connaissances lorsque la situation l'exige.

La version originale est chantée par une voix masculine, celle de la vidéo est interprétée par Pipilotti elle-même.

Ce refrain est souvent accompagné du cri de ralliement poussé par une voix de stentor « Et le 16 est toujours ? », « Et d'acier » lui hurlent en cœur les chasseurs présents.

La voix de Lady Miyako, jadis assurée par un homme, a été remplacée par une voix féminine.

Version de Richard Lester (1980) Le procès de Zod, Ursa et Non se déroule de façon assez différente, résultat de l'impossibilité de faire apparaître ou entendre l'acteur Marlon Brando (interprète de Jor-El), la sentence des trois condamnés étant alors prononcée par une voix inconnue.

Ils réduisent ainsi la plupart des interactivités possible, afin de proposer des balades virtuelles essentiellement narratives linéaires, misant essentiellement sur la poésie des lieux et du discours (souvent présenté par une voix-off ou des documents à lire).

Les cow-boys avaient parfois la surprise, le soir autour du feu, d'entendre leurs chants répétés fidèlement par une voix aux alentours.

Il est reconnaissable à son timbre chaud de ténor et sa puissance (ce qui lui vaut le surnom de « Pavarotti pop »), aux trémolos en bout de note chantés par une voix de tête.

Le traité a finalement été ratifié le , par 57 voix contre 27, soit par une voix seulement de plus que la majorité des deux tiers qui était requise.

Le film, comme le notent certains critiques, est assez proche de Rebecca d'Hitchcock : ouverture de l'histoire par une voix off féminine, puis arrivée d'une nouvelle épouse dans une maison vaste, hostile et lourde de secrets, maison où la jeune femme est plus ou moins enfermée, incendie, etc.

Quatrième partie : centrée sur le personnage de Dilsey, est racontée par une voix qui n'a pas de parole proprement dite, voix hétérodiégétique qui sort du style monologique déjà travaillé dans les trois parties précédentes.